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Homme âgé de 54 ans, est adressé pour angioscanner thoracique pour recherche d’hypertension pulmonaire post-embolique. Ses antécédents notables sont une thrombophilie compliquée de 4 épisodes d’embolie pulmonaire entre 2002 et 2005, pour laquelle il est traité par anticoagulation efficace, une anémie sidéroblatique liée à l’X et un tabagisme actif à 30 paquets années.
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Homme, 46 ans, consulte aux urgences en septembre 2016 pour une toux grasse avec hémoptysie de faible abondance et douleur thoracique dans un contexte de sepsis. Le patient est toxicomane à l’héroïne substituée par Subutex.
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L’Algérie, le plus grand territoire d’Afrique, avec plus de 40 millions d’habitants, reste confrontée à la fois aux priorités sanitaires des pays en développement et à celles des pays développés, avec notamment une progression des maladies non transmissibles.
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Bien que l’IRM multiparamétrique (mpIRM) améliore considérablement la détection du cancer de la prostate, la ponction biopsie échoguidée par voie endorectale (PBP) reste la méthode de référence, mais la procédure standard qui consiste à réaliser 10-14 prélèvements étagés ne détecte que 30%-40% de cancers, parmi lesquels des cancers non cliniquement significatifs avec pour conséquence un risque de sur traitement.
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L’imagerie joue un rôle majeur dans l’évaluation objective de la réponse tumorale aux traitements anticancéreux. En routine clinique, le clinicien base sa décision de poursuivre ou d’arrêter son traitement essentiellement sur l’évolution des tumeurs en imagerie. Dans les essais cliniques, c’est en partie à partir de l’évaluation en imagerie qu’est déterminée l’efficacité des traitements qui sont ensuite approuvés pour une mise sur le marché par les autorités réglementaires.
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La radiologie interventionnelle appliquée en oncologie, ou oncologie interventionnelle, a considérablement progressé au cours des dernières années. Les techniques mini-invasives initialement proposées en cas de contre-indications à la chirurgie sont devenues des traitements pleinement reconnus dans de nombreux cancers, primitifs ou secondaires.
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L’IRM s’est imposée depuis 30 ans comme la technique de référence pour l’exploration d’un patient porteur d’une sclérose en plaques. Le diagnostic actuel repose sur les critères radio-cliniques de McDonald incluant une injection d’une dose unique de 0.1 mmol/kg de gadolinium pour le diagnostic positif et le suivi de la maladie. L’acquisition FLAIR est réalisée après l’injection suivie du T1 permettant d’harmoniser le délai de 5 minutes entre l’injection et l’acquisition T1 et accessoirement d’être plus sensible aux lésions lepto-méningées en FLAIR.
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Le titre de spécialiste en radiologie, fondé sur un cursus bien défini, existe en Suisse depuis 1939. Depuis 1998, l’accès aux études de médecine est limité par un test d’aptitude assorti d’un numerus clausus. Le taux de réussite à ce test est de 30%. Les études de médecine durent 12 semestres et sont sanctionnées par un master. Une fois le diplôme de médecine en poche, le choix de la spécialisation ne fait actuellement l’objet d’aucune restriction au niveau fédéral.
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