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katrineriklund
Le Professeur Katrine Riklund est une représentante éminente de la radiologie européenne : son apport scientifique est majeur en recherche translationnelle, reliant immunologie et médecine nucléaire, avec notamment des travaux concernant l’évaluation des anticorps monoclonaux pour le diagnostic et le traitement des cancers gynécologiques, et en imagerie hybride. Ancienne présidente de la société suédoise de radiologie puis de la société suédoise de médecine nucléaire, Katrine Riklund devient à partir de 2009 responsable ou membre de plusieurs comités au sein de l’ESR.
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ionalupescu
Le Professeur Ioana Lupescu dirige le service de radiologie de l’Institut Clinique de Fundeni à Bucarest. Pendant toute sa carrière, Ioana Lupescu est restée fidèle à trois principes. D’abord l’ouverture sur différentes spécialités : elle a développé une compétence particulière en imagerie digestive et urologique, mais aussi un intérêt en neuroradiologie.
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carloshomsi
Carlos Homsi a été membre du comité exécutif de la Société Paulistaine de Radiologie (SPR) depuis 2009 et il est un soutien majeur des relations entre la SPR et la SFR. Son expertise est focalisée sur l’échographie des pathologies de l’appareil locomoteur. Il s’est très tôt tourné vers la radiologie française en participant aux congrès du GETROA puis de la SIMS. Les liens étroits tissés lors de ces réunions ont permis de mettre sur pied un programme d’échographie de l’appareil locomoteur pendant le congrès conjoint GETROA-GEL-GERME lors des JPR 2001.
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Le cancer mammaire reste, en France, le premier cancer en termes de fréquence (51 000 nouveaux cas en 2015) et de mortalité (11 900 décès en 2015) chez les femmes. L’IRM mammaire est aujourd’hui l’examen le plus sensible (près de 90%) avec une augmentation croissante du nombre de demandes corrélée à la découverte de nouveaux gènes de susceptibilité au cancer du sein et la volonté grandissante d’une désescalade thérapeutique.
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L’utilisation d’un scanner avec une large rangée de détecteurs (320 barrettes avec une couverture de 16 cm en une rotation) a été largement étudiée pour les pathologies cardiaques (couverture du cœur en une seule rotation) et l’aorte thoracique ascendante. Nous disposons d’un scanner permettant cette couverture depuis le début de l’année 2017, et voulons partager avec les lecteurs les grandes potentialités d’une telle technologie en pathologie thoracique.
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figure
Enfant de 13 ans présentant des douleurs chroniques modérées et une incurvation de la jambe gauche. Quel est le diagnostic le plus probable sur les données de l’imagerie ?
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