La question de la responsabilité professionnelle – au sens médico-légal – est centrale dans le futur développement d’outils d’intelligence augmentée utilisant des algorithmes d’apprentissage profond pour la prise en charge médicale des patients.
À la suite d’Hiroshima et Nagasaki, le principe ALARA (As Low As Resonably Achievable) est devenu le standard de la radioprotection médicale. Cependant, force est de constater que baisser les doses sans prendre en compte la qualité de l’image est contre-productif ...
Puisqu’il s’agit en priorité d’accroître l’efficacité du traitement des cancers, c’est notamment en faisant le diagnostic le plus précoce et le plus précis possible, que ce soit au stade initial, ou lors de possibles récidives, que les radiologues vont pouvoir améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer.
Bien que l’utilisation des rayons X ait débuté au Mexique juste quelques semaines après leur découverte et qu’ils furent incorporés progressivement dans les cliniques, les hôpitaux et les cabinets privés, ce ne fut que dans les années quarante que la radiologie mexicaine connut l’essor pour devenir ce qu’elle est actuellement.
La radiologie est en évolution fulgurante. L’image médicale devient de plus en plus facilement accessible, de plus en plus précise, et la radiologie interventionnelle poursuit son essor.
MR, 70 ans, consulte pour une dyspnée d’apparition progressive. Dans ses antécédents, il rapporte un traitement antituberculeux il y a 15 ans pour tuberculose probable, et deux épisodes de pneumothorax (à droite puis à gauche).
L’intelligence artificielle (IA) fait couler beaucoup d’encre, anime les passions et les espérances, mais comment cette technologie va-t-elle s’installer d’un point de vue pratique dans nos services d’imagerie ?