L’interprétation des clichés standard des urgences est une obligation légale comme tout examen d’imagerie, mais dans la réalité les unités d’imagerie (publiques et privées) ne sont pas toujours en capacité de dicter tous ces examens. Idéalement, ces clichés, demandés avec des renseignements cliniques pertinents, devraient être interprétés en temps réel (comme le sont la plupart des scanners des urgences). Comment arriver à cet idéal dans le contexte actuel de manque de radiologues et d’augmentation continue des flux de patients en SAU ?