Sein

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La technique du ganglion sentinelle a été développée à partir des années 2000 et vise à ne prélever que le premier relais ganglionnaire du sein. En cas de ganglion envahi, un curage axillaire était systématiquement réalisé. En 2011, l’essai ACOSOG-Z0011 bouleverse les pratiques.
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La chimiothérapie néoadjuvante (CNA) est une stratégie thérapeutique de plus en plus employée, pour les cancers du sein localement avancés, non accessibles à un traitement conservateur premier, en cas d’atteinte ganglionnaire avancée, dans l’objectif après régression tumorale d’augmenter les chances de conservation mammaire de tumeurs justifiant dans tous les cas une chimiothérapie, dans les cas de tumeurs de type triple négatif ou Her2+, ou de type luminal de grade élevé, très proliférantes, supérieures à 2cm.
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Imagerie médicale
Le statut ganglionnaire axillaire reste un des facteurs pronostiques les plus importants dans le cancer du sein et sa connaissance en préopératoire est nécessaire pour le choix thérapeutique. Les différentes modalités d’imagerie ont été évaluées pour la détection préopératoire des métastases ganglionnaires axillaires de cancers du sein. Bien qu’aucune des modalités ne soit suffisamment fiable, l’examen de choix reste l’échographie axillaire, avec des critères simples, associée à la cytoponction des ganglions échographiquement suspects.
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Image
Le cancer mammaire reste, en France, le premier cancer en termes de fréquence (51 000 nouveaux cas en 2015) et de mortalité (11 900 décès en 2015) chez les femmes. L’IRM mammaire est aujourd’hui l’examen le plus sensible (près de 90%) avec une augmentation croissante du nombre de demandes corrélée à la découverte de nouveaux gènes de susceptibilité au cancer du sein et la volonté grandissante d’une désescalade thérapeutique.
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