IRM

Imagerie médicale
Non, l’IRM mammaire ne peut pas résoudre tous vos problèmes dans les dossiers de sénologie. Aurélie Jalaguier-Coudray (Marseille) nous a rappelé que sa prescription doit rester rare du fait du risque de la gestion des faux-positifs. Mais du fait de sa haute sensibilité et de sa haute valeur prédictive négative, il existe quelques situations où l’IRM mammaire nous sera d’une grande aide (hors dépistage des femmes à risque et du bilan pré-thérapeutique).
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Le cancer mammaire reste, en France, le premier cancer en termes de fréquence (51 000 nouveaux cas en 2015) et de mortalité (11 900 décès en 2015) chez les femmes. L’IRM mammaire est aujourd’hui l’examen le plus sensible (près de 90%) avec une augmentation croissante du nombre de demandes corrélée à la découverte de nouveaux gènes de susceptibilité au cancer du sein et la volonté grandissante d’une désescalade thérapeutique.
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L’IRM s’est imposée depuis 30 ans comme la technique de référence pour l’exploration d’un patient porteur d’une sclérose en plaques. Le diagnostic actuel repose sur les critères radio-cliniques de McDonald incluant une injection d’une dose unique de 0.1 mmol/kg de gadolinium pour le diagnostic positif et le suivi de la maladie. L’acquisition FLAIR est réalisée après l’injection suivie du T1 permettant d’harmoniser le délai de 5 minutes entre l’injection et l’acquisition T1 et accessoirement d’être plus sensible aux lésions lepto-méningées en FLAIR.
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Thanatologie
L'objectif princeps de la médecine légale thanatologique est la découverte des causes de la mort. Pour cela, elle bénéficie aujourd'hui de presque toutes les grandes avancées techniques médicales : génétique, toxicologique, anatomo-pathologique, biochimique et radiologique. L'autopsie virtuelle n'a pas pour objectif de remplacer l'autopsie médico-légale classique, mais d'apporter des informations complémentaires parfois difficiles à mettre en évidence à l'autopsie.
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