Dimanche 2017

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La radiologie interventionnelle appliquée en oncologie, ou oncologie interventionnelle, a considérablement progressé au cours des dernières années. Les techniques mini-invasives initialement proposées en cas de contre-indications à la chirurgie sont devenues des traitements pleinement reconnus dans de nombreux cancers, primitifs ou secondaires.
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L’IRM s’est imposée depuis 30 ans comme la technique de référence pour l’exploration d’un patient porteur d’une sclérose en plaques. Le diagnostic actuel repose sur les critères radio-cliniques de McDonald incluant une injection d’une dose unique de 0.1 mmol/kg de gadolinium pour le diagnostic positif et le suivi de la maladie. L’acquisition FLAIR est réalisée après l’injection suivie du T1 permettant d’harmoniser le délai de 5 minutes entre l’injection et l’acquisition T1 et accessoirement d’être plus sensible aux lésions lepto-méningées en FLAIR.
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Le titre de spécialiste en radiologie, fondé sur un cursus bien défini, existe en Suisse depuis 1939. Depuis 1998, l’accès aux études de médecine est limité par un test d’aptitude assorti d’un numerus clausus. Le taux de réussite à ce test est de 30%. Les études de médecine durent 12 semestres et sont sanctionnées par un master. Une fois le diplôme de médecine en poche, le choix de la spécialisation ne fait actuellement l’objet d’aucune restriction au niveau fédéral.
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Si l’échographie est et doit rester la technique de dépistage et de diagnostic, l’IRM fœtale a acquis une place essentielle dans la prise en charge pré- et périnatale de certaines malformations. La pathologie du système nerveux central reste sa principale indication. L’IRM joue aussi un rôle dans la caractérisation de pathologies placentaires.
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Les traumatismes graves sont définis par des critères cliniques et des circonstances de traumatisme (critères de Vittel) et peuvent être classés dans trois catégories : - les patients instables pour lesquels le bilan d’imagerie est minimal, fait au lit ; la tendance actuelle est de réaliser un scanner corps entier, même chez ces patients instables, car le temps passé au scanner est rattrapé ensuite grâce à une prise en charge orientée ; - les patients critiques, mis en condition généralement en réanimation puis bénéficiant d’une exploration scanographique ; - les patients potentiellement g
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