Bulletin de la Société Radiologie Médicale de France. Séance du 11 mai 1920
Le saviez-vous ?
Nous vous proposons au cours de cette année d’analyser chaque mois le contenu des Bulletins et Mémoires de la Société de Radiologie Médicale de France et du Journal de Radiologie et d’Electroradiologie il y a tout juste 100 ans.
La séance commence donc par une allocution de Belot, Président de la Société, à propos de la création de la chaire de radiologie au sein du service de santé des armées et confiée au médecin principal Hirtz qui est donc le premier professeur de radiologie au Val de Grace.
L’image radiologique de l’aorte : son trajet – ses rapports – son calibre par Delherm et Thoye-Rozat.
Contribution à l’étude radiologique des abcès sous-phréniques par Chassard et Morénas.
A propos de trois cas de hernies diaphragmatiques gastro-coliques par Carrière et Desplats.
Cette séance propose un programme assez lourd qui laisse penser à une fin de réunion tardive au vu des discussions après chaque présentation. Certains intervenants viennent de loin, Metz et Avignon.
Le numéro 2 du Journal de Radiologie et d’Electrologie est segmenté en rubriques multiples aux frontières un peu floues ; Mémoires originaux, Nouvelles, Notes Pratiques, Faits Cliniques, Sociétés et Congrès, Appareils Nouveaux et enfin Analyses, témoignant de la diversité des propositions et des centres d’intérêt des auteurs et des lecteurs.
Nous vous proposons au cours de cette année d’analyser chaque mois le contenu des Bulletins et Mémoires de la Société de Radiologie Médicale de France et du Journal de Radiologie et d’Electroradiologie il y a tout juste 100 ans.
Le (futur)Musée de la radiologie vient de se doter d’un nouvel équipement.
1916. Découverte sur une radiographie du genou chez un homme de 28 ans, pour recherche de fragments métalliques, de multiples petits îlots de condensation sur l’ensemble des os...
Pendant les deux guerres mondiales, la Société de Radiologie a essayé, tant bien que mal, de survivre. C’était, à vrai dire, pratiquement impossible pendant la Grande Guerre. Comme les 175 médecins-radiologues que comptait la France en 1914, les dirigeants de la Société de Radiologie sont aux armées et y occupent des postes de responsabilité.
